Cancer du cavum

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Cancer du cavum

Le cancer du cavum, également connu sous le nom de carcinome nasopharyngé, est une forme relativement rare de cancer qui se développe dans la région du nasopharynx, qui est la partie supérieure de la gorge située derrière le nez. Ce type de cancer est caractérisé par sa forte association avec le virus d’Epstein-Barr (EBV), un virus couramment contracté pendant l’enfance.

Le cancer du cavum présente des particularités uniques par rapport à d’autres cancers des voies respiratoires. Il est plus fréquent dans certaines régions du monde, notamment en Asie du Sud-Est, en Afrique du Nord et dans certaines populations autochtones de l’Arctique. De plus, il touche généralement des individus plus jeunes que les autres cancers des voies respiratoires, avec un pic d’incidence entre 40 et 50 ans.

Ce cancer pose un défi en termes de diagnostic précoce en raison de sa localisation profonde et de l’absence de symptômes spécifiques aux stades précoces de la maladie. Cependant, grâce aux avancées dans les techniques de diagnostic et aux traitements disponibles, les chances de guérison et les résultats fonctionnels se sont considérablement améliorés au fil des années.

Dans cet article, nous explorerons les facteurs de risque, les symptômes, les méthodes de diagnostic et les options de traitement du cancer du cavum. Nous aborderons également l’importance de la détection précoce et du dépistage dans la prise en charge de cette maladie.

Qu’est-ce que  ?

Définition

Le cancer du cavum, également appelé cancer du rhinopharynx, est une forme de cancer qui se développe dans la région du cavum. Le cavum, ou rhinopharynx, est la partie supérieure de la gorge située derrière le nez, en arrière du voile du palais.

Ce type de cancer est relativement rare mais présente certaines particularités qui le distinguent des autres cancers des voies respiratoires. Il est fortement associé au virus d’Epstein-Barr (EBV), un virus couramment contracté pendant l’enfance. Le cancer du cavum est plus fréquent dans certaines régions du monde, notamment en Asie du Sud-Est, en Afrique du Nord et dans certaines populations autochtones de l’Arctique.

Le cancer du cavum pose un défi en termes de diagnostic précoce en raison de sa localisation profonde et de l’absence de symptômes spécifiques aux stades précoces de la maladie. Cependant, grâce aux avancées dans les techniques de diagnostic et aux traitements disponibles, les chances de guérison et les résultats fonctionnels se sont considérablement améliorés au fil des années.

Explications

Le mécanisme d’apparition du cancer du cavum est complexe et multifactoriel. Le principal facteur de risque associé au cancer du cavum est l’infection par le virus d’Epstein-Barr (EBV), un virus de la famille des herpèsvirus humains. L’infection par l’EBV se produit généralement pendant l’enfance et peut entraîner la transformation des cellules épithéliales dans le rhinopharynx, favorisant ainsi le développement du cancer.

Une fois infectées par l’EBV, les cellules épithéliales du cavum subissent des altérations génétiques qui entraînent une prolifération incontrôlée et une formation de tumeurs. Ces altérations génétiques peuvent affecter plusieurs voies moléculaires impliquées dans la régulation de la croissance cellulaire, la mort cellulaire programmée et la réparation de l’ADN. En conséquence, les cellules cancéreuses se multiplient de manière anormale et forment des masses tumorales dans le cavum.

La propagation du cancer du cavum peut se faire par voie lymphatique vers les ganglions lymphatiques cervicaux voisins, ainsi que par voie sanguine vers d’autres organes distants, tels que les poumons, le foie et les os.

La compréhension approfondie des mécanisme du cancer du cavum est essentielle pour le développement de nouvelles stratégies de traitement ciblées et l’amélioration des résultats cliniques pour les patients atteints de cette maladie.

Diagnostic

Les personnes concernées

Le cancer touche principalement les adultes âgés de 20 à 40 ans, 3 fois plus souvent les hommes que les femmes.

Les zones à haut risque sont l’Asie du Sud-Est, le Maghreb et l’Alaska. On observe également une incidence intermédiaire en Afrique de l’Est, en Chine et en Mongolie, tandis que les régions à faible incidence incluent l’Europe, les États-Unis et le Japon.

Le principal facteur de risque associé au cancer du cavum est l’infection par le virus d’Epstein-Barr (EBV). Cette infection virale est plus fréquente dans les régions où le cancer du cavum est prévalent. Les antécédents familiaux de cancer du cavum et les facteurs environnementaux, tels que l’exposition aux nitrosamines présentes dans certains aliments transformés (viande cuite, les légumes transformés, céréales, lait et produits laitiers ou encore les aliments fermentés, marinés au vinaigre ou épicés), ont également été associés à un risque accru de développer cette maladie.

Contrairement à certains autres types de cancers, le cancer du cavum n’est pas étroitement lié à la consommation d’alcool et de tabac. Cependant, il est important de noter que d’autres facteurs de risque et interactions complexes peuvent également contribuer au développement de cette maladie.

La connaissance de l’épidémiologie et des facteurs de risque du cancer du cavum est cruciale pour mettre en place des mesures de prévention et de dépistage appropriées, ainsi que pour fournir des informations et des ressources aux populations à risque élevé.

Les symptômes

Le cancer du cavum peut présenter divers symptômes, principalement au niveau ORL et neurologique. Au niveau ORL, les symptômes courants comprennent une voix nasonnée, des saignements de nez récidivants, et une obstruction nasale dans environ 20% des cas. Les patients peuvent également ressentir une diminution de l’ouïe, une sensation de plénitude dans l’oreille, et des douleurs à l’oreille.

Au niveau neurologique, certains patients peuvent présenter des maux de tête, des douleurs au niveau du visage, une vision double, et des douleurs dans la gorge. Ces symptômes neurologiques sont observés dans environ 10% des cas.

Il est important de noter que les symptômes du cancer du cavum peuvent varier en fonction de la localisation et de l’étendue de la tumeur. Certains patients peuvent ne présenter que quelques symptômes légers, tandis que d’autres peuvent présenter des symptômes plus prononcés et invalidants. Il est essentiel de consulter un professionnel de santé en cas de présence de ces symptômes, afin d’obtenir un diagnostic précis et d’établir un plan de traitement approprié.

Les signes

Lors de l’examen clinique du cancer du cavum, plusieurs signes peuvent être observés au niveau ORL et dermatologique. Au niveau ORL, lors de l’inspection de l’oreille, il peut être remarqué la présence d’une otite séreuse unilatérale dans environ 25% des cas. Une bulle d’air rétro tympanique peut également être observée, ainsi qu’une infiltration du tympan, caractérisée par un aspect dépoli, épaissi et rétracté. Certains cas peuvent présenter une coloration bleue avec un niveau liquide.

Lorsque le médecin utilise un fibroscope dans le nez, une tumeur ulcéro-bourgeonnante ou infiltrante peut être visualisée au niveau du cavum.

Lors de la palpation, des ganglions cervicaux peuvent être détectés, principalement situés à l’arrière du cou (50-90% des cas). Ces ganglions peuvent présenter une augmentation de volume et constituer un signe de propagation de la tumeur.

Il est important de noter que ces signes cliniques peuvent varier en fonction de l’étendue de la maladie et de sa localisation spécifique. La présence de ces signes doit alerter et inciter à consulter un professionnel de santé pour un diagnostic précis et une prise en charge appropriée.

Ne pas confondre

Le diagnostic peut être compliqué à faire. Si c’était le cas, consultez Learnycare+.

Les examens

Pour confirmer le diagnostic de cancer du cavum, plusieurs examens sont utiles. Le principal examen est la fibroscopie du cavum, réalisée sous anesthésie générale avec une optique rigide. Cela permet la visualisation directe de la tumeur et la réalisation de biopsies multiples pour obtenir un échantillon de tissu pour l’analyse au microscope. L’anapath, c’est-à-dire l’analyse au microscope des échantillons prélevés, est essentielle pour confirmer le type spécifique de cancer du cavum.

Les résultats de l’anapath peuvent révéler différents types de cancers du cavum. Le carcinome indifférencié est l’un des types les plus fréquents, caractérisé par des cellules tumorales qui ne montrent pas de différenciation spécifique. Les lymphomes, en particulier les lymphomes malins non hodgkiniens, peuvent également être diagnostiqués dans certains cas. Enfin, le carcinome épidermoïde est un autre type de cancer du cavum qui peut être identifié lors de l’analyse histopathologique.

Bilan d’extension

Il est important de noter que l’évaluation de l’extension de la tumeur est également réalisée lors de la fibroscopie du cavum, afin de déterminer le stade de la maladie et de guider la prise en charge thérapeutique.

Pour évaluer l’extension du cancer du cavum, plusieurs examens complémentaires sont utilisés.

Pour évaluer l’extension locale de la tumeur, l’endoscopie au tube rigide est réalisée. Cela permet de visualiser directement la tumeur et d’évaluer son étendue dans le cavum. De plus, un audiogramme et un tympanogramme peuvent être réalisés pour évaluer l’atteinte de l’audition et de l’oreille moyenne. Des tests tels que le test de Lancaster et le champ visuel peuvent également être effectués pour évaluer d’éventuelles complications neurologiques.

Pour évaluer l’extension régionale de la maladie, un scanner abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste peut être réalisé. Cela permet de rechercher des signes d’atteinte des ganglions lymphatiques et d’autres structures abdominales et pelviennes. L’IRM (imagerie par résonance magnétique) avec séquences T1 et T2, avec ou sans injection de gadolinium, peut également être utilisée pour évaluer plus précisément l’extension tumorale et l’atteinte des structures environnantes.

Enfin, pour évaluer l’extension générale de la maladie, une radiographie pulmonaire peut être réalisée pour rechercher d’éventuelles métastases pulmonaires. Une échographie hépatique peut également être effectuée pour évaluer l’atteinte du foie.

L’ensemble de ces examens permet de déterminer le stade de la maladie et de guider la prise en charge thérapeutique, en adaptant le traitement en fonction de l’extension de la tumeur.

Bilan pré-opératoire

Pour assurer une préparation optimale avant une intervention chirurgicale pour le cancer du cavum, plusieurs examens et bilans pré-opératoires sont généralement réalisés.

Un bilan dentaire avec une radiographie des dents est recommandé afin d’évaluer l’état de santé bucco-dentaire du patient. Cela permet de dépister d’éventuelles pathologies dentaires ou parodontales qui pourraient affecter la suite du traitement ou la pose de prothèses. En fonction des résultats, des soins dentaires appropriés peuvent être planifiés avant l’intervention. La confection de prothèses et de gouttières fluorées peut également être réalisée pour protéger les dents et les tissus buccaux pendant le traitement.

En plus du bilan dentaire, un bilan pré-opératoire classique est également effectué. Celui-ci peut inclure des examens sanguins (numération sanguine, dosage des marqueurs tumoraux, fonction hépatique et rénale, coagulation), une radiographie pulmonaire, un électrocardiogramme (ECG), une évaluation de la fonction respiratoire et d’autres examens spécifiques en fonction des besoins du patient et de la recommandation du chirurgien.

Ces bilans pré-opératoires permettent d’évaluer l’état de santé global du patient, de dépister d’éventuelles contre-indications ou risques liés à l’intervention chirurgicale, et de prévoir les mesures nécessaires pour minimiser les complications et optimiser le succès de l’opération.

Examens complémentaires

La sérologie de l’Epstein-Barr virus (EBV) peut être incluse dans le bilan pré-opératoire pour le cancer du cavum. L’EBV est un virus couramment associé au développement du cancer du cavum. La sérologie vise à détecter la présence d’anticorps dirigés contre l’EBV dans le sang du patient.

Il existe plusieurs types d’anticorps associés à l’EBV, notamment les anticorps IgG et IgM. Les anticorps IgG sont généralement présents chez les personnes qui ont déjà été exposées à l’EBV, tandis que les anticorps IgM sont souvent associés à une infection récente. En analysant les résultats de la sérologie de l’EBV, les médecins peuvent évaluer si le patient a été exposé au virus et déterminer si cela peut être un facteur de risque pour le cancer du cavum.

La sérologie de l’EBV ne constitue pas un test de dépistage spécifique pour le cancer du cavum, mais elle peut fournir des informations supplémentaires sur la présence de l’EBV dans l’organisme du patient. Cela peut aider à affiner le diagnostic et à établir une corrélation entre l’infection virale et le développement du cancer du cavum.

Le traitement

Étape 1 : prendre en charge

La prise en charge du cancer du cavum nécessite l’intervention de différents professionnels de santé. Les professionnels de santé de ville, tels que infirmiers, pharmaciens et médecins généralistes, jouent un rôle clé dans l’orientation et les premiers diagnostics des patients.

Une fois le diagnostic de cancer du cavum posé, la prise en charge spécialisée est assurée par une équipe multidisciplinaire. Les spécialistes impliqués comprennent les ORL (oto-rhino-laryngologistes), les chirurgiens maxillo-faciaux, les oncologues et d’autres professionnels de la santé selon les besoins spécifiques du patient.

Une étape importante de la prise en charge est la réunion de concertation pluridisciplinaire. Cela implique la réunion de l’équipe médicale spécialisée pour discuter du cas du patient, partager les informations diagnostiques et évaluer les options de traitement les plus appropriées. Cette approche collaborative permet de prendre des décisions éclairées et personnalisées pour chaque patient.

e le stade de la maladie, la localisation de la tumeur et l’état de santé général du patient.

Il est important de souligner que chaque cas de cancer du cavum est unique, et la prise en charge doit être adaptée aux besoins individuels de chaque patient. Un suivi régulier et une coordination étroite entre les différents professionnels de santé sont essentiels pour assurer les meilleurs résultats possibles et améliorer la qualité de vie des patients.

Étape 2 : soulager les symptômes

Le traitement symptomatique du cancer du cavum vise à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie du patient. Les options de traitement peuvent varier en fonction des symptômes spécifiques et des besoins individuels du patient. Voici quelques approches courantes pour le traitement symptomatique :

  • Antalgiques : les analgésiques peuvent être prescrits pour soulager la douleur associée au cancer du cavum.
  • Renutrition : la perte de poids et la dénutrition sont des problèmes fréquents chez les patients atteints de cancer du cavum. Un régime alimentaire adapté et une bonne prise en charge nutritionnelle peuvent être mis en place pour favoriser une meilleure alimentation et maintenir un poids santé.

Il est important de travailler en étroite collaboration avec l’équipe médicale pour discuter des symptômes spécifiques et des options de traitement symptomatique les plus appropriées pour chaque patient. L’objectif principal est d’améliorer le confort et la qualité de vie tout au long de la prise en charge du cancer du cavum.

Étape 3 : prévoir une chirurgie

Le traitement curatif du cancer du cavum repose généralement sur une combinaison de radiothérapie, de chirurgie et de chimiothérapie. Voici les approches couramment utilisées :

  • Radiothérapie : la radiothérapie est le traitement principal du cancer du cavum. Elle consiste à utiliser des rayonnements ionisants pour détruire les cellules cancéreuses et réduire la taille de la tumeur. La radiothérapie peut être administrée seule ou en association avec d’autres traitements.
  • Chirurgie : dans certains cas, une chirurgie peut être réalisée pour enlever la tumeur du cavum. Cependant, la chirurgie est souvent réservée aux cas où il persiste des reliquats ganglionnaires plus de 2 mois après la radiothérapie. L’objectif est d’éliminer les zones tumorales résiduelles et de prévenir la récidive de la maladie.
  • Chimiothérapie : la chimiothérapie peut être utilisée en association avec la radiothérapie dans le cadre d’un traitement adjuvant. Elle consiste à administrer des médicaments anticancéreux par voie intraveineuse ou orale pour détruire les cellules cancéreuses qui pourraient s’être propagées à d’autres parties du corps. La chimiothérapie peut également être utilisée en cas de métastases avérées, c’est-à-dire lorsque le cancer s’est propagé à d’autres organes.

La combinaison de ces traitements dépendra du stade du cancer, de l’extension de la maladie et des caractéristiques individuelles du patient. Une approche multidisciplinaire, impliquant une équipe médicale spécialisée, est essentielle pour déterminer le plan de traitement optimal pour chaque patient atteint de cancer du cavum.

Surveillance

Lors du traitement du cancer du cavum, certaines complications lié aux traitements peuvent survenir en raison des traitements utilisés. Plus de détails dans Learnycare+.

Le traitement du cancer du cavum nécessite une prise en charge multidisciplinaire, comprenant des oncologues, des ORL, des dentistes, des orthophonistes et d’autres professionnels de la santé spécialisés. Ces professionnels travailleront ensemble pour minimiser les complications liés aux traitements et fournir un traitement efficace et adapté à chaque patient.

Évolution

L’évolution du cancer du cavum peut varier d’un patient à l’autre. Cependant, en général, les taux de survie à long terme sont relativement faibles. Selon les statistiques, la survie à 3 ans est d’environ 40% et la survie à 5 ans est d’environ 30 %.

Après le traitement initial, une surveillance étroite est nécessaire pour détecter toute récidive ou progression de la maladie. Des examens cliniques réguliers, généralement tous les 3 mois, permettent de surveiller les signes et symptômes, ainsi que d’évaluer la réponse au traitement.

Des examens tels que des scanners, des IRM ou des examens biologiques, peuvent être recommandés tous les 6 mois pendant les premières années après le traitement, puis moins fréquemment par la suite. Ces examens permettent de surveiller l’évolution de la maladie et de détecter toute récidive ou métastase éventuelle.

Il est important de souligner que chaque cas de cancer du cavum est unique, et l’évolution de la maladie peut varier en fonction de nombreux facteurs, tels que le stade du cancer, la réponse au traitement et la condition générale du patient. Une prise en charge multidisciplinaire et un suivi régulier sont essentiels pour optimiser les chances de détection précoce des récidives et pour fournir les traitements appropriés en cas de besoin.

Il est également important de souligner que ces statistiques générales ne préjugent pas du pronostic individuel de chaque patient. Chaque cas est unique et doit être évalué de manière personnalisée par l’équipe médicale en charge. Le soutien émotionnel et psychologique joue également un rôle essentiel dans le processus de traitement et de suivi pour aider les patients à faire face aux défis de la maladie et à maintenir une bonne qualité de vie.

Prévention

La prévention du cancer du cavum repose sur son dépistage. Une sensibilisation aux signes et symptômes du cancer du cavum peut aider à une détection précoce de la maladie. Les personnes présentant des symptômes tels qu’une voix enrouée persistante, des douleurs à la gorge, des difficultés à avaler ou des ganglions lymphatiques enflés dans le cou devraient consulter un professionnel de la santé pour une évaluation.

La vaccination contre le virus Epstein-Barr (EBV), qui est associé au développement du cancer du cavum, peut réduire le risque d’infection par ce virus. Les vaccins contre l’EBV sont en cours de développement et de recherche.

Il est important de souligner que la prévention du cancer du cavum est un sujet de recherche en cours et qu’il est essentiel de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils personnalisés sur les mesures de prévention appropriées, en fonction de facteurs individuels tels que l’âge, les antécédents médicaux et l’exposition aux facteurs de risque.

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